[french translation] (F)j’envoie accidentellement à mon prof (M) un texte qu’il n’aurait jamais dû lire.

Hi,

i read the story (see link) [https://www.reddit.com/r/eroticliterature/comments/hgtvza/i_accidentally_send_my_teacher_my_erotica_and_he/](https://www.reddit.com/r/eroticliterature/comments/hgtvza/i_accidentally_send_my_teacher_my_erotica_and_he/) and loved it !!!

So i translate it in french for the pleasure of french readers… it’s a free translation, i addsome parts, transform some others… enjoy…

Une montée d’adrénaline !!!

Mon cœur bat extrêmement fort dans ma poitrine, alors que je tente de trouver le bouton qui me permettrait d’annuler l’envoi de ce mail…

Mais Dieu est cruel, tout comme M. Thompson, semble-t-il. Nous n’avons le droit d’envoyer qu’un seul mail pour répondre à ce TD et l’horloge indique 23h58… Cela qui signifie que dans quelques heures, il lira ma prose érotique, celle que j’ai écrite sur mon fantasme entre lui et moi, au lieu de lire la dissertation que je devais soumettre pour le cours d’histoire.

“Merde ! merde ! merde ! quelle cruche je fais !!!.”

Mille pensées me traversent l’esprit, je passe en mode panique!! Il va voir ça, il va tout découvrir de mon obsession à son encontre. Le pire, c’est qu’il va penser que je suis une dégénérée fantasmant sur son professeur, la baisant dans son bureau. Mes pensées se bousculent… Il va l’ébruiter dans toute l’université, peut-être même va t’il faire un mot à mes parents !!! Tout le monde le saura. C’est terrible, je ne m’en remettrai jamais.

J’étouffe dans mes pensées, c’est foutu pour moi, mes études, ma réputation…

je sursaute au son de la notification soudain émis par mon ordinateur portable.

C’est un e-mail. De M. Thompson.

Bonjour Garance,

Je viens de prendre connaissance de votre mail, venez à mon bureau demain après les cours.

C.T.

Merde. Merde. Merde !!! Comme vous vous en doutez, je passe une très mauvaise nuit !

Avant de frapper à sa porte, j’essaye maintenant de me préparer mentalement à ce qui va arriver. Mon esprit s’emballe. Va t’il en parler au directeur ? Va-t-il me convoquer en conseil de discipline ? Est-ce qu’il va m’expulser de l’université ? Mon cerveau surchauffe, et je suis toute entière pétrifiée au moment où la porte s’ouvre.

M. Thompson a le même sourire chaleureux que celui qu’il arbore tous les jours en classe. Il porte une chemise blanche enroulée jusqu’aux coudes, montrant ses avant-bras maigres et ciselés.

“Garance. S’il vous plaît, entrez.”

J’inspire profondément et fais quelques pas dans son bureau.

“M. Thompson, je suis vraiment désolé, vraiment je suis confuse, je ne voulais pas…” [mode contrôle des dégats activé]. Je tente maladroitement de m’excuser, de m’expliquer. comment faire ?

«Garance”. Il m’arrête à mi-phrase. Sa voix est ferme. “Je suis très déçu par le devoir que vous m’avez soumis.”

Je baisse la tête, n’osant pas le regarder. Je sais que je l’ai déçu. Comment ne pas être déçu ? Mes tripes se serrent alors que je me prépare à la punition qui va inévitablement tomber.

«Il y a beaucoup de…» Il s’arrête un bref instant avant de continuer. ” Il y a beaucoup d’incohérences dans ton travail, Garance.” Des incohérences? Pardon ? Je lève les yeux vers lui, confuse.

“- Des incohérences qui me font penser que tu fais preuve de beaucoup de naïveté, et qui me font aussi penser que tu manques cruellement d’expérience”

“- Vraiment ? vous pensez ?”

Je sens ma mâchoire se décrocher, mon corps entier se liquéfier. J’ai 19 ans, je suis toujours vierge, certes, mais j’ai lu beaucoup d’histoires érotiques et regardé beaucoup de choses sur internet…

“Et en tant que professeur, il est de mon devoir de vous aider à progresser, à corriger vos erreurs.” Il se rapproche de la porte, la ferme et tourne le bouton moleté de la serrure.

D’un coup, son bureau s’emplit d’un silence étouffant. Il se retourne et me fait face. Ses yeux sont sombres, scintillants, j’arrive à y déceler quelque chose d’inhabituel. Comme le regard d’un chasseur qui aurait piégé sa proie.

“Mets-toi à genoux.” Sa voix est profonde et basse.

J’avale instinctivement ma salive. Sa réaction n’est pas du tout celle que j’avais imaginée, moi jeune ingénue. Je ne sais pas comment réagir, ou quoi ressentir.

“Ic… ici ?” Je ne peux pas m’empêcher de balbutier devant l’incongruité de la situation.

Il rit ironiquement. “Qu’est-ce qui ne va pas? Tu avais l’air d’en avoir réellement envie dans ton fantasme… Laisse-toi aller…”

Au fond de moi je me dis qu’il a raison, je devrais me laisser aller mais, j’ai l’impression d’être déshabillé par son regard. Je sens mon visage devenir écarlate alors que je repense à l’histoire que je lui ai envoyée. L’histoire de moi et de lui et…

“Tu ne devrais pas me faire attendre, Garance.”

Je m’approche doucement de lui, l’odeur de son eau de Cologne me fait vaciller, je m’agenouille, un tas d’émotions se mélangent, je me sent un peu humiliée et en même temps cette situation occupe tellement mon esprit lorsque je me donne du plaisir seule, que pourrais-je faire, que devrais-je faire…Et puis, c’est sans doute le prix à payer pour une gaffe pareille.

Il pose une main sur mon épaule, me pousse doucement vers le bas.

Je me courbe sous la pression, je suis à lui. La moquette de son bureau est loin d’être confortable, mais je n’ai pas le choix. Enfin si, j’ai le choix ! Je pourrais avoir le choix de refuser et de me montrer offusquée, mais la solution qu’il me propose me semble presque plus simple que d’avoir à affronter autrement l’humiliation.

Je me retrouve maintenant face à son entrejambe, et devine son état, à la vue de la bosse déjà formée par le tissu de son pantalon. D’une main, il déboucle sa ceinture. C’est une véritable tornade dans ma tête. Ok je ne suis pas puni, Ok ça va rester entre lui et moi, Ok cet homme me fait terriblement fantasmer, mais tout de même, la réalité est plus ardue que ma fiction… Pourquoi ai-je tant d’appréhension ? Je me ressaisis en ai-je envie ? oui je crois, mais vraiment, c’est plus compliqué à faire qu’à écrire !!!

Mes mains tremblent alors qu’elles déboutonnent et défont la fermeture éclair de son pantalon. La “contrainte” me facilite presque la tâche”Je baisse son boxer. L’odeur musquée de sa queue semi-dure se répand dans l’air autour de moi.

“Voyez Garance que je ne suis pas complètement dur, comme dans votre récit… jusqu’ici vous avez vu très juste”

Doucement et avec beaucoup de tendresse maintenant, il amène une main autour de ma nuque pour me rapprocher de sa queue.

“Utilise ta main pour jouer avec. Comme ça…” Je reprends mes esprits, la tendresse avec laquelle il me parle maintenant me rassure. Alors, je suis ses consignes et j’enroule une main autour de son sexe. Il est chaud et doux autour de mes doigts. La description que j’en avais faite dans ma prose n’était pas très précise et je me dit que cette expérience me permettra de donner plus de corps à mon récit. Je tire légèrement sur la peau de son sexe pour découvrir son gland, et je le sens devenir imperceptiblement plus dur.

“Joue avec ta langue sur le bout de mon gland.”

J’hésite une seconde avant de porter sa queue à ma bouche… Ce sexe dressé, dans ma bouche ? suis-je capable de faire ça ? et à la fois au point où j’en suis…

Finalement, mon petit démon prend le dessus. Ma langue s’élance pour goûter son gland.Je sens sa main me pousser doucement la tête un peu plus bas. Je tiens son sexe dans ma main, à la base et je mets maintenant son gland dans ma bouche. c’est une sensation étrange, c’est assez gros, c’est chaud et doux, un peu salé, ça m’empêche presque de respirer, et à la fois ça crée une humidité non négligeable entre mes jambes. J’ai le sexe de mon prof, tant fantasmé entre mes lèvres, je crois que ça me plait, mais il faut vraiement que je progresse !!!

Je l’entends gémir alors que je le prends un peu plus profond dans ma bouche, je m’étonne de mes capacités ! Il me surprend en poussant encore un peu plus profondément sa queue au fond de ma bouche, cette fois-ci je m’étouffe légèrement. J’essaye de reculer mais sa main me tient en place. il relâche la pression… ouf…

Il laisse monter et descendre lentement sa queue dans ma bouche. Il est beaucoup plus dur et plus gros maintenant et je sens ma mâchoire fatiguer. À mon grand soulagement, il se retire de ma bouche. De fins filets de salive me relient encore à son sexe. J’avais omis ce genre de détails dans mon récit, je trouve cela à la fois très cru et très excitant.

“Lève-toi Garance.” Il m’attrape par la taille, et dans un mouvement fluide, soudain, je me retrouve dos au mur, il me fait face. Je savais qu’il était grand, mais être coincé là, entre le mur et lui, me remet vraiment les choses en perspective.

“Tu te souviens de ce qu’il advient ensuite, Garance?”

Je sens mon entrejambe se mouiller à la pensée de ce qu’il est censé advenir.

Il enfonce son visage dans le creux de mon cou, ce moment de tendresse je ne l’avais pas oublié. il se tient ainsi quelques secondes, respirant mon odeur, ses lèvres sur ma peau. Puis, je sens ses lèvres, je le sens mordiller mon cou, avant de remonter vers mon oreille et prendre mon lobe dans sa bouche.

Je ne peux pas m’empêcher de me tortiller un peu, maintenant mes mains remontent pour essayer d’agripper son dos, mais il décide que les choses vont se passer autrement. De sa main gauche, il attrape mes mains au niveau des poignets et les plaque contre le mur au-dessus de ma tête. Je gémis face au sentiment d’impuissance totale que je ressens, j’ai l’impression d’être comme son jouet, et à la fois tout ce qu’il fait était écrit dans mon récit. En y pensant ça m’inquiète un peu… beaucoup même…

Sa main droite descend le long de mon dos avant de trouver mon cul. Ces caresses sont d’une force et d’une sensualité infinie, je ne m’étais pas trompé sur mon personnage principal. Contournant mes hanches, sous ma culotte, il me caresse maintenant le pubis. Un doigt descend jusqu’à ma fente et je l’entends haleter. Je me suis déjà masturbée un nombre incalculable de fois, mais là, avoir la main d’un homme, de cet homme, entre mes jambes me fait vaciller.

Il chuchote sensuellement dans mon oreille : “Garance, tu incarnes admirablement bien ton personnage”… “Je vois que tu as bien compris cette première partie.”

______________________

J’inspire brusquement, je sens son doigt, il est entre mes lèvres et il tente de me pénétrer ! Mon sexe est très humide, il me penetre ça y’est… il plonge en moi. C’est une sensation étrange et très agréable.il ressort puis frôle mon clitoris, je perds pied… Il me masse maintenant l’ensemble de la vulve. Avant que je ne puisse réagir, son doigt est retourné en moi, non en fait il ne s’agit pas d’un doigt mais bien de deux… Je me sais plutôt étroite, je gémis, halète de plénitude. Ses doigts sont beaucoup plus épais que les miens et je sens ma chatte encore vierge très serrée autour d’eux.

Il parle à travers ses dents.”Garance, ce que tu es étroite.”

Il commence lentement, très lentement, je ressens chacun de ses gestes au travers de mes chaires brûlantes. Il accélère ses mouvements lorsque mon étroit fourreau s’habitue à sa présence. Je sens son expertise, je ne me suis pas trompée sur lui. Son pouce stimule une zone près de mon clitoris, mes jambes ont maintenant du mal à me porter, la sensation est absolument divine.

J’ai dû faire du bruit parce que je l’entends me dire avec une voix langoureuse. “Silence, ou je vais devoir te bâillonner.” il ne me semble pas avoir introduit cet accessoire dans mon récit.

Ma respiration devient de plus en plus lourde alors que ses doigt épais entrent et sortent de mon sexe, le bout de ses doigts appuyent contre les parois de mon vagin. ces gestes sont précis, mon point G se voit gratifié de douces caresses. Exactement comme dans mon récit… Quelle mémoire ce M. Thompson Je me colle contre lui et, en rythme, je sens mon plaisir monter, monter encore, je vais jouir…

Mais il retire brusquement ses doigts. Je pousse un gémissement frustré avant d’ouvrir les yeux. Il a un sourire suffisant sur le visage.

“Tu n’as qu’à te blâmer. Tu n’as pas joui sur mes doigts dans ton histoire.”

“Mais, mais…” Je suis tellement frustrée, et mon clitoris est maintenant si sensible que je suis sur le point d’exploser. quelques secondes de plus auraient suffi à me faire jouir…

“Chut…” Il libère mes mains engourdies au-dessus de ma tête.

“Fais demi-tour Garance.”

Je m’exécute et fait maintenant face au mur, j’espère retrouver bientôt ses doigts en moi. Je respire, pousse un soupir de soulagement en le sentant pousser à nouveau contre ma fente humide, mais ce soulagement est bientôt remplacé par une prise de conscience accablante.

Sa queue, dure et énorme, est contre ma petite chatte innocente et je la sens s’étirer au-delà de ce que je pensais possible. Alors que son gland commence à entrer en moi. Je me crispe, c’est gros tout de même… Je n’ai jamais rien ressenti de tel ! Le seul substitut de phallus qui avait jusqu’alors servi à mon auto apprentissage se résumait à un stylo, (orange et vert ;-) de forme oblongue et de diamètre assez réduit, il m’avait permis de découvrir en douceur mon intimité la plus profonde. Autant dire que sentir maintenant son gland très dur contre ma petite fleur me mettait dans un état particulier, bien loin de mes innocentes pénétration de stylo.

Il laisse échapper un souffle tremblant derrière moi, se retire un peu et s’immobilise.

“Ne t’en fais pas je vais être très doux.” Sa voix est apaisante et me conforte sur ses intentions. il raccroche au récit, ça me rassure un peu. Ses mains parcourent mon corps. Il caresse et pince doucement mes tétons sous mon soutien-gorge. Je me détends à son contact et la douleur s’estompe lentement.

Il pousse à nouveau légèrement et à ma grande surprise, je sens son gland entrer en moi sans trop de douleur. Je ressens sa raideur entre mes lèvres. Oh mon dieu ce que c’est serré !!! C’est une sensation nouvelle, agréable et étonnante et c’est réellement plaisant. Je n’ai aucun point de comparaison mais j’ai l’impression que c’est vraiment énorme pour ma petite vulve, encore vierge il y a quelques instants.

Etrangement j’ai comme l’impression qu’il grossit encore plus une fois en moi. Aidé par mon humidité et une poussée plus franche, Il glisse plus profondément, jusqu’à ce que je sente son gland se presser contre une partie inexplorée de mon anatomie et ses bourses contre mes fesses… Tous ces détails je ne les avais pas notés dans mon récit. Comment aurais-je pu imaginer et décrire la chaleur de son membre en moi sans en avoir fait l’expérience. Je comprenais enfin de quoi il parlait lorsqu’ il avait évoqué ma naïveté et mon manque d’expérience.

“Tu me prends si bien, Garance. ”

Toutes mes chaires sont étroitement serrées contre sa queue, je sens au travers de mon sexe chacun de ses plus infimes mouvements. Je le sens se contracter, il recule un peu, lentement. Je me sens physiquement remplie, psychiquement comblée, la sensation de sa queue contre les parois supérieures de mon vagin est paradisiaque. Je suis maintenant très loin de la sensation que me procurait mon fameux stylo orange lors de mes séances “d’entrainement”

Il reprend son œuvre. Maintenant un peu plus habitué à le sentir en moi, il entre et sort plus rapidement, tenant mes hanches en place alors qu’il gémit. Enhardie, je commence à me frotter en cadence contre lui, essayant de coller à son rythme. Sa main s’est posée sur mon clitoris. Il le caresse au rythme de ses poussées, en petits cercles. Parfois il colle ses doigts contre mes lèvres autour de son pénis, j’ai parfois même l’impression qu’il essaye de me pénétrer avec ses doigts en plus de son sexe. je suis manifestement encore un peu trop étroite pour en accepter autant mais l’idée qu’il me veuille comme ça ne fait qu’amplifier mon plaisir. Je ne peux m’empêcher de gémir et le sentiment de monter vers l’orgasme recommence à me gagner, plus fort encore que la fois précédente.

Ses poussées régulières sont maintenant de plus en plus franches et profondes, et, alors qu’il joue habilement avec mon clitoris, je sens une vague de plaisir monter suivie d’une décharge électrique qui fige mon corps entier, une explosion d’endorphines me propulse vers les plus hautes sphères du plaisir. J’expérimente avec un infini bonheur mon premier orgasme, donné autrement que par mes mains. Je le sens enrouler une main autour de moi et me couvrir la bouche. Je crie sous sa paume, je me frotte fort contre lui et ma vulve n’en finit plus de se serrer et de se desserrer autour de sa tige. Le plaisir est indescriptible, et au moment où mes muscles se calment, je me sens réduite à l’état d’ un “désordre tremblant”, mes jambes ne me portent plus, j’ai l’impression de ne rester debout que grace au soutien de ses mains sur mes hanches et de son sexe en moi.

Lui, il continue à faire aller et venir sa queue en moi, ses poussées sont toujours plus inquisitrices. Il gémit de plus en plus fort, agrippant mes hanches, me besognant tout en poursuivant vers son propre orgasme. Dans un dernier râle, il fait entrer l’entièreté de son membre dans mon étroit fourreau, avant que je ne ressente les salves d’un liquide chaud se répandre au fond de moi…

Je le sens se ramollir et il pose sa tête sur mon épaule, sa poitrine se soulève.

Il soupire en se retirant,”J’espère que vous avez pris autant de plaisir que votre homologue de l’histoire.”

Je sens la trainée de son sperme encore chaud dégouliner de mon sexe.

“La prochaine fois, je vais enseignerai d’autres méthodes pour pimenter l’intrigue de votre histoire.”

Source: reddit.com/r/eroticliterature/comments/nmt9pn/french_translation_fjenvoie_accidentellement_à