Amsterdam décembre 2019, la fin de l’année approche les festivité commence à se loger dans la ville, j’ai terminé mon travail cette semaine et je suis prêt à prendre des vacances de Noël, je remballe mes affaires j’en vois mes derniers mails vers 15h30, le bureau est presque vide, un coup de tonnerre résonne telle un cris dans le Sahara, les premiers gouttes de pluie commencent à tomber sur la vitre de mon bureau qui se trouve au 15ème étage du building de NorthPole. Après un petit moment d’admiration et de nostalgie je sens mon téléphone vibré, tient c’est lily, on avait un rancard aujourd’hui vers 20h au restaurant le plus chic de la ville, j’ouvre le message et je lis ” cher Tarek j’espère que tu vas bien, je t’attend impatiemment je suis prête et n’oublie pas soit prudent” je souris telle un gamin qui n’as personne et qui quelqu’un lui envoi des fleurs, bref je me ressaisie et tout d’un coup je repense à l’autre soir une vague de chaleur me brûlas les jambes, une fois que mon dernier rapport soit compilé je ferme la porte et je go à moi les vacances en plus yavait mes parents qui venez dans une semaine alors la j’étais comblé.
Arrivé au parking je monte dans ma bmw et je la laisse tourner je prend le téléphone pour répondre à ma bien aimé “salut Ly, je rentre tout de suite je passe récupérer des trucs puis je me prépare et je passerai te prendre” plus rapide qu’un éclair elle m’envoie un OK avec un petit emoji. Puis je re repense à l’autre soir dans cette voiture l’envie nous a tué et poussé à la folie.
Après m’avoir préparé Je suis parti la récupérer.
Je l’attend à l’entrée de son bâtiment quelque minutes, puis elle sort en robe bleue nuit, ça poitrine sortait un peu, ça démarche était comme si une lionne, je sentais qu’elle était vraiment prête pour cette soirée, personnellement j’ai pas eu les mots ni maintenant d’ailleurs pour la décrire.
Une fois rentré elle m’a regardé d’un air assoiffés et moi aussi, on c’est embrasser et on a pris le chemin du restaurant, sachant que nous avons un délire qui nous pousse à faire des choses incroyable elle commença à me parler et pour rendre la conduite agréable elle a mis c’est deux vêtu du talon aiguilles sur mon bassin et elle piquait mon penis pour me stimulé. À un point elle a senti que c’était dur elle a arrêté, elle est ces jeux…
Après avoir mangé et discuter sur la politique et l’économie. On a décidé de rentré pour savouré une soirée en tête à tête, nous sommes allés chez moi, une fois ka porte ouverte je l’ai attraper soulève et commencé à l’embrasser, c’est lèvre était si majestueuse et pulpeuses, elle m’a accroché avec ces jambe je l’ai pris par les fesses, comme un débile j’avais pas allumé la lumière et par conséquent je voyais rien jusqu’à à ce qu’on tombe sur le sofa, je sentais son cœur battre en moi après quelques minutes, on a décidé de rendre le jeu encore plus torride.
on a décidé de monter à la chambre une fois dedans, je lui en lève sa robe comme si que je m’y attendait pas de soutien gorge une une culotte en dentelle, on plonge l’un sur l’autre sur le lit, J’attrape 2 crave à moi et je l’attache par les mains, maintenant elle a moi, je sors son vibromasseur je l’allume et je l’enfonce bien à côté du clitoris vitesse maximale, vu qu’elle était sur son ventre je la pénétre par derrière, et j’en profite l’occasion pour rendre ces fesse bien ronde et blanche à la couleur de son clitoris à un mon a commencé a vibré comme si un orgasme approché, je file à la cuisine ramener de la glace et je les mets directement dans son vagin chaud, je la fais tourner et la pénétre elle m’en lasse avec ces jambes bien long et sexy et je mets tout mon poids sur elle, elle pousse un petit gémissement telle une tigresse, je ressens des endroits chauds et froid du à la glace sur mon penis à un moment je sens un truc liquide qui sort ce n’est pas moi mais c’est elle je vois ces yeux défiler vers le haut et son ventre sortir, je lui fais un baiser et je murmure à son oreille :tu as été en retard et tu m’a laissé attendre voilà ta punition, je descend à son a cou je lui fais un joli suçon à l’ancienne, je descend pour goûter son vagin, je lui es pas laissé le temps vu que ces mains été attachée elle enfonça ma tête avec ces cuisses pour mieux la sucer juste après je fais une rotation pour faire la position 69, et on a ejaculer au même moment, nos bouche étaient pleine, alors j’ai décidé de la laisser reposer un peu et moi aussi, mais elle a pas voulu, elle me demandas de la détacher, mon sperme tjrs dans ça bouche, je le fis et elle me fait coup du cheval, elle attrape mon penis elle le plonge dans son vagin et elle ouvre la bouche on laissons le sperme et ça salive couler comme dans des chutes d’eau, elle s’inclina contre moi elle commença, ces sein pointu défilé devant moi je l’ai attrape et je les masse, 15 minutes après un orage arriva et s’abatta sur la maison, on c’était arrêté pour nous reposer, je suis parti devant la fenêtre et elle, elle c’était couché en ouvrant c’est jambes, j’avais remarqué ça sur la vitre, je lui demanda de venir, je la soulève et la mets sur une sorte d’appui, je contempler ça beauté et l’agressivité de l’orage, nous étions nu, on c’est enlacé et on a terminé la soirée nous embrasser juste que moi je voulais la suçer et je l’ai fait son corps était le mien et le mien était le sien.
De bon matin, on ces réveillé ensemble tjrs nu. Nous sommes allés prendre une douche ensemble, l’eau chaude frappa ça peau la vapeur à remplie tout le volume, yavait que nous. J’ai commencé à l’embrasser à un moment j’avais une érections elle l’attrapa par ces mains et commença à jouer avec comme si c’était un jouer, elle se mis à genoux, Avec une seule main elle l’attrapa et l’autre l’enfonca dans son vagin elle a mis dans ça bouche après un moment elle commence à massé mes testicule ça faisait du bien, après quelques minutes quelques choses de blanc sorti directement sur son visage, je l’ai attrapé par le bassin la soulevant et la mettre contre le mur et la pénétra sous de l’eau chaude, on senti nos muscles un par par. Nos corps formé qu’un, et en c’est embrasser sauvagement. Jusqu’à l’épuisement.