J’étais à peine majeur que cette fille avait une attirance inébranlable envers moi. Elle entretenait cette chaleureuse attention de manière quotidienne en me manifestant ses désirs émotionnels… et sexuels.
Sans aucun contrôle là-dessus, j’étais malheureusement dans l’ombre de l’inexpérience.
C’est vers la fin de l’été, au bout de plusieurs mois d’incapacité, que je cédais à ses avances et l’embrassait, avec une force modéré mais un pouvoir complet. Elle comprenait qu’elle avait maintenant perdu le contrôle et que j’allais l’absorber sans soucis.
Après à peine deux jours, la tension était à sont comble. Le jeune garçon inexpérimenté voulait devenir l’homme qu’il rêvait d’être. Sa fraîche copine, déçue de ses premières relations, sentait que le grand jour était enfin à sa porte. Mon arrivée dans sa chambre faisait retentir les cloches d’un désire constamment refoulé.
L’échange d’un regard ne faisait que confirmer le consentement des deux êtres en manque d’attention. Ni une ni deux, je la plaquais sur le lit, lui enlevait ses vêtements et j’explorais l’inconnu.