This is something I wrote for a lover two years ago, never read it twice so it is as it came out, a product of desire and lust. Hope you Like it.
Imagine le sable sur lequel tu es allongée, chaud et brillant, doux comme la caresse du vent.
Imagine l’eau non loin qui lèche paresseusement le rivage de sa langue salée, les faibles vagues qui
chantent doucement leur mélopée ; elles vont, elles viennent sans réel rythme, à leur gré. Le soleil
est haut dans le ciel, il essaye d’apposer ses marques sur notre peau, dardant ses rayons brûlants.
Dans cette crique éloignée de tout chahut, couverts par des parois rocheuses abruptes, a deux pas
d’une eau turquoise limpide, nous sommes étendus là, côte à côte.
Allongé sur le ventre je regarde tes boucles ambrées s’agiter sous la brise légère, elles dansent,
tourbillonnent et se reposent a nouveau. Tu as les yeux fermés, tournée face au grand bleu du ciel
qui est le seul autre témoin de ton corps aujourd’hui. Je me redresse sur les coudes, pour mieux voir
ton visage serein, tranquille. Je laisses mes yeux se promener, depuis ta couronne d’ambre, ton front,
tes sourcils, tes paupières closes, ton nez, toujours aussi charmant, je prends un détour par tes joues
que j’aime embrasser, puis je revint sur tes lèvres. C’est la que mon coeur fait un premier bond. Ces
douces lèvres rosées et closes, je me vois déjà y coller les miennes, elles m’appellent, m’invitent a
les caresser de ma langue. Mais pas maintenant.
Mon regard quitte non sans regret la chair rosée, glisse sur ton menton avant de chuter sur ton cou.
Cette chute provoque un nouveau bond dans ma poitrine. Je tends ma main comme par réflexe, j’ai
envie de le caresser, de poser mes doigts de chaque côté, alléché à l’idée de te faire de l’effet avec ce
simple geste. Mais je ne veux pas te troubler pour le moment… Et il en va de même pour ma bouche
qui meurt d’envie à l’idée d’embrasser, de mordre ta peau blanche, de te sentir prise au piège comme
une proie condamnée dans ma gueule. Mais pas maintenant.
Alors continue mon voyage visuel sur le paysage de ton corps. Je remonte la pente de ton buste, et à
mon grand plaisir tu es topless, je me délecte à la vue de tes mamelons immobiles, couronnés par
un téton rosé qui encore une fois, appelle ma bouche et mes doigts. Un plaisir que je refuse encore à
m’offrir, alors que naît en moi, une envie grandissante qui ne saurait tarder a me terrasser. Puis je
glisse sur ton ventre, tourne des yeux autour de ton nombril comme l’oeil d’un maelström
tourbillonnant, retardant mon arrivée un peu plus en dessous, ton bas ventre, et la seule pièce de
tissus qui couvre ton intimité. L’envie grandit encore en moi, me susurrant les plaisirs que nous
partageons ensemble comme le diable murmurerait a mes oreilles. Je m’attarde un moment, je dois
encore me laisser glisser le long de tes jambes, suivre l’encre sur ta peau, et glisser encore jusqu’à
tes pieds, charmants qu’ils sont, et qu’il me tardait de masser à notre retour, bien enfoncé dans un
canapé confortable et moelleux.
Je sentais mon coeur battre plus fort dans ma poitrine, excité, et presque anxieux, comme timide. Je
me penchais au dessus de toi, lentement pour poser mes lèvres sur les tiennes, une seconde ou deux
peut être. Et dès que je les retirais, le temps se figea, mon souffle fut coupé, le silence, ni la mer ni
le vent n’atteignait mes oreilles, le reste du monde m’avait soudainement oublié et niait son
existence même à mes sens.
Il suffisait que tu ouvres tes yeux et me sourie, rayonnant sur mon coeur, pour que la terre se
remettes a tourner. Je me noyais un instant dans tes yeux, avant d’osciller sur tes lèvres, puis de
revenir a ton regard, avant de plonger a nouveau sur tes lèvres, glissant mes doigts sur ta nuque et
dans tes cheveux, poussant nos langues a se rencontrer. J’échappais un léger gémissement, comme
un soulagement a ta réponse positive , à ton esprit, synchrone au mien.
Je me rapprochais de ton corps, m’assurant un meilleur contact, décollais mes lèvres en léchant les
tiennes du bout de ma langue, pure provocation agrémentée de mon plus beau sourire. Tu me
répondais en me mordant la lèvre inférieure, impératrice et autoritaire, à revenir t’embrasser de plus
belle. Je ceinturais ton coup de mon bras, amenant mon corps entier au dessus du tien, collant ma
peau chauffée par le soleil à la tienne, éprouvant un frisson satisfaisant a la rencontre de nos
poitrines respectives. Je glissais une jambe entre les tiennes, insidieux et bourré d’intentions
charnelles.
Je sentais avec plaisir tes bras parcourir mes épaules, passer dans mes cheveux. Je t’ai vu sourire et
même rire en retirant l’élastique qui retenait encore ma crinière. Ils se sont abattus autour de nous
comme un rideau fin, un baldaquin pour nos baisers passionnés. Je posais enfin mes mains sur ton
corps, ramenait ta cuisse sur ma hanche, m’offrant un première accès a tes fesses, griffant
légèrement ta peau.
J’abandonnais tes lèvres, fuyait sur ta joue pour aller trouver tes oreilles, y déposer un baiser fugace,
mordiller ton lobe, étape nécessaire, primordiale même, avant de m’occuper de ton cou. Affamé
comme un animal j’embrassais ta peau, et déposais une première morsure, proche de ta clavicule, je
repoussais ton menton en arrière de mon pouce, pour laisser plus de place a mes instincts
carnassiers. Je te sentais déjà t’agiter sous moi, m’offrir ton bassin, tu savais que nous allions nous
abandonner totalement, très bientôt et tu me préparais déjà à l’acte.
Je passais totalement entre tes cuisses, m’offrant une ceinture de tes jambes qui ne tardèrent pas a se
verrouiller sur moi. Je frémissais sous tes caresses abondantes, de sentir tes doigts sur mon cou,
dans mes cheveux, parcourir le long de ma colonne. Je prenais un moment pour m’arrêter sur ton
bras tatoué, vénérant les motifs sur ta peau, sanctifiant chaque centimètre d’un baiser, allant jusqu’au
bout de tes doigts. Mais ta poitrine m’attirait, ma bouche était débordée par l’envie de te recouvrir
intégralement, une envie grondante et terrible qui s’abattait sur toi comme de lourdes vagues sur le
sable. Je caressais ton sein, l’enveloppant de mes mains, un léger mouvement vers l’intérieur, je le
sentait se raffermir sous mes doigts, et je voyais ton téton durcir et bientôt pointer. Je le pris dans a
bouche, épousant sa forme de mes lèvres et faisant claquer ton piercing entre mes dents. Je baisais
celui ci et mordait l’autre, léchait ce dernier et pinçait de mes doigts le premier, toujours pour te
faire gémir, réagir, te faire mal, et te faire du bien surtout.
Sans en attendre vraiment d’avantage, je passais une main entre nous, sous ton maillot, entre tes
lèvres, j’étais ravi de constater que tu étais déjà bien mouillée, cette sensation m’enivra d’avantage,
c’était moi qui oubliait l’existence du monde dès l’or, je ne voyais que tes sourcils froncés sous ce
contact, ta lèvre inférieure, coincée sous tes dents, je portais mes doigts a mes lèvres. Que tu étais
délicieuse, chaude. La sueur perlait sur mon dos, plus que le soleil, notre étreinte me rendait plus
brûlant encore.
Nous avons roulé sur le côté et tu t’es retrouvée au dessus de moi, arborant un air satisfaite, l’oeil
brillant. Cela m’as fait sourire un instant, puis j’ai lancé ma main a ton cou, je l’ai brièvement serré.
Ton sourire est passé de ton visage au mien, laissant place a une expression d’excitation et de
contrainte. J’ai échappé un grognement satisfait et tu as commencé a jouer de tes hanches, d’avant
en arrière, a danser sur mon sexe tendu dans mon maillot de bain. Tu commençais a gémir un peu
plus, frottant ton clitoris sur moi à travers deux couches de tissus qui étaient largement de trop.
J’ai giflé ta poitrine a plusieurs reprises, t’arrachant des tressaillements de douleur et de plaisir, j’ai
fait rougir un peu ta peau, en gardant ma main autour de ton cou tel un collier d’os et de chair. Outre
le plaisir physique et charnel que me procuraient tes frottements je commençais a sentir le plaisir de
t’utiliser, d’avoir ton destin entre mes doigts. C’est pour ça que, gardant ma poigne, je t’ai amenée à
moi, lentement jusqu’à ce que que es lèvres effleurent ton oreille :
« Je veux que tu me suces »
un murmure, un soupir et un coup de langue, puis je relâchais la pressions sur ton cou. Tu as
récupéré ta respiration et a acquiescé, tu as reculé sur moi, en embrassant mon corps, j’ai senti tes
dents sur mon corps tout comme je t’avais mordu auparavant, mon maillot était déjà bien humide de
la ou tu t’étais appuyée contre moi, dessinant une arrête le long de ma verge. Tu l’as retiré et a pris
mon sexe entre tes mains, et quelle satisfaction de te voir l’empoigner, de voir tes doigts l’entourer,
monter et descendre le long, découvrir mon gland gonflé de sang. J’étais déjà entrain d’émettre mes
premiers râles de satisfaction au moment ou tu as planté ton regard dans le mien et que tu l’as pris
en bouche, lentement d’abord, j’ai senti ta langue en faire le tour, le couvrir de salive puis de l’avaler
plus profondément. J’ai du lâcher un grand râle, je me suis retrouvé face au ciel, mes muscles se
tendaient par vague, il me fallait me concentrer pour venir te tenir les cheveux, et t’admirer à
l’oeuvre. Je voyais mon sexe disparaître dans ta bouche, tes joues se creuser en aspirant. Je me suis
mordu la lèvre et j’ai appuyé sur ta tète alors que tu étais presque en bas, me forçant un passage au
fond de ta gorge. J’ai attendu quelques secondes, tu as commencé a tousser, j’ai maintenu une ou
deux secondes de plus et t’ai libérée. Ton visage rougissait, tu m’as regardée, j’ai su dans ton regard
que ça t’excitait encore plus, tu m’as branlé, plus fort plus vite, la bouche encore grande ouverte
d’où s’échappaient de longs filets de salive, ma queue était trempée, parfaitement lubrifiée par ta
bouche délicieuse. Tu as recommencé a me sucer, plus vite plus fort, avec plus de fougue, et mes
muscles se sont a nouveaux tendus, en de vagues plus fortes et plus rapprochées, je ne pouvais
retenir de gémissements, de grognements de satisfaction. J’ai renouvelé l’opération, une fois, deux
fois, chaque fois te laissant t’étouffer un peu plus. Je te tirais par les cheveux pour que tu reprennes
ton souffle, te giflais pour te rappeler qui était aux commandes. Je sentais ton excitation a chaque
fois que j’abusais de toi, je te sentais prendre ton pied sans que ton visage ne le laisse paraître, et
j’adorais ça, ton plaisir décuplait le mien, alors je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin.
J’ai pris ton crane a deux mains, j’ai joué un peu avec, j’ai commandé le moindre centimètre de
descente sur ma verge turgescente, puis je t’ai figée, et ce sont mes reins qui ont pris le relais, un
coup ou deux pour tâter la profondeur de ta gorge d’abord, puis plus vite, plus rapidement, je me
suis mis a baiser ta bouche, j’ai vu tes mains se crisper sur le sable alors que je profitais de ta gorge,
je sentais ta salive couler le long de ma verge et jusqu’à mes bourses, j’avais envie de me finir dans
ta gorge, de faire gicler mon foutre chaud sur ta glotte, que tu avales tout bien sagement…
Mais j’avais surtout envie que tu viennes t’empaler sur moi, de te sentir descendre lentement , que tu
m’inondes de ta mouille. Alors j’ai tiré sur tes cheveux pour que tu reviennes sur moi, je t’ai
embrassée, plus passionnément que jamais, j’ai caressé ton dos, ta nuque, tes fesses. Je me suis
attardé sur tes fesses, j’ai apprécié leur rondeur, leur fermeté, et je les ai claqués violemment, a en
laisse l’empreinte de ma main et a t’en faire crier juste ce qu’il fallait. J’ai écarté ton maillot de bain
pour offrir ta vulve a ma verge, c’était la première fois que les deux se rencontraient, ta chaleur et ta
moiteur m’enivraient plus encore, j’ai senti mon gland glisser a l’entrée de ton vagin, passer outre,
frôler ton anus et se frotter entre tes fesses, d’intenses frissons nous parcouraient a chaque fois que
j’étais près de te pénétrer. J’essayais encore de gagner du temps et de repousser un peu l’animal qui
m’avait consumé pendant ta fellation.
Mais c’est toi qui tenait sa laisse en vérité, alors tu t’es redressée, encore haletante, tu t’es levée sur
tes genoux, empoigné ma queue entre tes mains, et la guidée la ou elle se devait d’aller, entre tes
lèvres trempées. Et comme j’en fantasmais déjà avant, tu t’es enfoncée sur moi, en me regardant
droit dans les yeux, nous avons tous les deux froncé les sourcils et émis le même son de
soulagement et de délice. Les grognements sont montés en moi alors que tu remontais, redescendait,
que tu t’abattais sur moi comme les vagues sur la plage, j’ai agrippé tes hanches plus fort encore, j’ai
giflé ta poitrine, j’ai claqué tes fesses. Quand j’en aie ut assez de ton rythme, j’ai saisit ta gorge a
deux mains, j’ai l’ai pressée et je t’ai sentie te battre pour trouver un filet d’air, l’oxygène se faisait
plus rare dans ton cerveau, j’ai rapproché ainsi ton visage du mien, j’ai senti tes mains se serrer sur
mes épaules, et je t’ai pilonnée par en dessus, brutalement, soudainement rapidement. Ta voix
coincée tentait désespérément de s’exprimer la a quelques centimètres de mon visage, alors que je
grognais plus fort, mes yeux plantés dans les tiens.
Prêt a éjaculer je me suis retiré, j’ai relâche ton cou, le coeur battant, je t’ai prise dans mes bras
quelques secondes, que tu prennes un peu de répit et que je prennes un peu de repos, je sentais
toujours ton excitation grimpée et je te sentais proche de jouir. Je t’ai embrassée, longuement, mes
mains tenant ton visage. Je t’ai pénétrée de nouveau, lentement. Doucement j’ai pris ton bras, et te
l’ai coincé délicatement dans ton dos, puis l’autre de même. J’étais obligé de le tenir d’une main,
enserrant tes deux poignets. Privée d’appuis tu t’es effondrée sur moi, nos deux têtes côte a côte, les
lèvres collées a nos oreilles respectives. J’ai glissé deux doigts dans ta bouche, tu les a sucé sans
hésiter. J’ai accéléré un petit peu mes mouvements de reins sous toi. J’ai glissé ma main libre le long
de ton dos, jusqu’à la raie de tes fesses, j’ai continué a descendre encore jusqu’à trouver ton anus. J’ai
joué autour quelques instants, puis j’ai enfoncé un doigt, doucement, alors que ma queue continuait
ses va et viens quelques centimètres en dessous. J’ai retiré mon doigt, puis j’en ai utilisé deux pour
te pénétrer a nouveau, je me suis fermement ancré, puis de nouveau je me suis mis a te pilonner, en
donnant de toute mon énergie pour te baiser tel que tu le méritais, j’ai plongé mes crocs dans ta
gorge alors que le plaisir me submergeait, j’ai crié, d’un râle grave et long, pour tenir autant que
possible. J’ai crié avec toi, j’ai joui avec toi, je me suis figé en toi au moment d’éjaculer, tous mes
muscles se sont crispés, mes jointures ont blanchi en serrant tes poignets, j’ai tremblé, tressailli, la
mâchoire serrée, les reins qui se vidaient et m’envoyaient des vagues de frissons intenses. Je n’étais
plus qu’une bête haletante et grognante par a-coups, alors que tes cuisses se serraient contre moi, tes
genoux me pressaient les côtes, ta voix a résonné a mon oreille si fort que j’ai cru me briser un
tympan.
J’ai relâché tes bras doucement, et t’ai aidée a les ramener sur ma poitrine, tu as enfoui ton visage
dans mon cou, j’ai entendu tes légers sanglots. Alors j’ai caressé tes cheveux, doucement,
paisiblement, je nous ai laissés rouler sur le coté pour que tu puisses venir te recroqueviller contre
moi, je t’ai enveloppée dans mes bras, je t’ai serrée contre moi. Le monde s’est remis a tourner, la
mer a frapper les rivages, et le soleil a nous brûler la peau.
Il n’y avait de meilleur endroit au monde en cet instant qu’auprès de toi, au contact de ta peau, de tes
cheveux, et de tes lèvres.