J’étais à peine majeur que cette fille avait une attirance inébranlable envers moi. Elle entretenait cette chaleureuse attention de manière quotidienne en me manifestant ses désirs émotionnels… et sexuels.
Sans aucun contrôle là-dessus, j’étais malheureusement dans l’ombre de l’inexpérience.
C’est vers la fin de l’été, au bout de plusieurs mois d’incapacité, que je cédais à ses avances et l’embrassait, avec une force modéré mais un pouvoir complet. Elle comprenait qu’elle avait maintenant perdu le contrôle et que j’allais l’absorber sans soucis.
Après à peine deux jours, la tension était à sont comble. Le jeune garçon inexpérimenté voulait devenir l’homme qu’il rêvait d’être. Sa fraîche copine, déçue de ses premières relations, sentait que le grand jour était enfin à sa porte. Mon arrivée dans sa chambre faisait retentir les cloches d’un désire constamment refoulé.
L’échange d’un regard ne faisait que confirmer le consentement des deux êtres en manque d’attention. Ni une ni deux, je la plaquais sur le lit, lui enlevait ses vêtements et j’explorais l’inconnu.
Je me suis fait une grande joie d’apprendre que ma langue détenait un pouvoir puissant qui, bien utilisé, pouvait causer des vagues d’orgasmes intenses chez ma partenaire. Je commençais évidemment par lui bouffer ses petits seins fermes. Ma langue tournait naturellement, et mes dents mordillaient la pointe rosées de sa poitrine. Ensuite, ma langue traça le chemin jusqu’au prochain niveau. Je pris une bonne bouffée de ce parfum exquis que possédait sont vagin. Je passais sans plus attendre ma langue, et le délicieux goût de sont sexe engorgé d’humidité ne faisait que confirmer le message de ses cris de plaisir orgasmique.
Je profitais de cette viande fraîche que je venais de traquer.
Sous cette pluie de puissants mouvements propulsés bien malgré elle, je savais que je lui avais offert l’orgasme ultime qu’elle recherchait. Un mixte d’amour et de désir sexuel venait enfin combler le vide profond qui habitait cette femme.
J’ai bien sûr été récompensé pour mes exploits, si impressionnant pour la première fois. Naturellement, elle empoigna mon pénis et le fit pénétrer dans sa bouche. Une sensation frissonnante me traversait le corps en entier, et je profitais de la première fellation de ma vie. Ses mouvements en rotation continuel de sa langue autour de mon gland, cette succion bruyante, puissante, et sont regard inquisiteur contribuait à broyer ce manque que je trainais en moi depuis plusieurs années.
Nos corps étaient connectés, nos âmes se sont rencontrées.
Je finis par l’agripper par les cheveux et je repris le contrôle de la danse. D’un coup dominateur et sans gêne, je l’envoyais couché sur le dos et je la pénétrais comme une balle transperce sa cible.
Je ne laissais aucune distance entre-nous, et je lui faisait comprendre. J’envoyais ma verge le plus profondément possible pour être en mesure de sentir l’extrémité de sa chatte, continuellement mouillée.
Je lui communiquais mon intensité via ma main droite, agrippée à son cou, qui l’a serrait de plus en plus fort. Elle me rendait la pareille en enfonçant ses ongles, sans aucuns scrupules, dans ma peau. J’étais dorénavant marqué par la lionne qui sommeillait en elle depuis si longtemps.
On ne peut pas garder un lion en cage. Nos désirs refoulés pouvaient maintenant s’exprimer sans aucun jugement d’autrui.
Mes mouvements répétitifs, de plus en plus rapides et de plus en plus violents, accompagner de ses coups de bassin qui en voulait encore plus, dégageait une tension incontrôlable. Nos regards communiquaient maintenant une intensité jamais ressentie auparavant.
Elle n’a pu s’empêcher de prendre le contrôle un instant pour s’installer en levrette. La courbe que formait sont corps partant de ses fesse allant droit vers sont dos ne faisait que m’inviter a la deuxième partie de notre ébat inépuisable.
J’attrapais sa couette de cheveux pour démontrer mon retour au pouvoir. Tout en la tenant bien fermement, j’enfilais à nouveau mon pénis en elle. Plus dur que je ne pouvais l’imaginer, la puissance de mon membre était inoubliable. Pendant qu’elle gémissait sans relâche, j’en profitais pour lui envoyer quelques gifles sur ses fesses rondes et délicieuses.
J’avais un plaisir puissant et malsain à la défoncer le plus fortement possible. Je voulais fracasser cette paroi qui m’empêchais d’aller plus loin. J’intensifiais mes allés-retours en elle et ses cris de jouissances devenaient maintenant incontrôlables. De courts moments de silences s’installèrent même, car la force n’y était tout simplement plus. L’énergie disparaissait à vue d’œil, le plaisir amenait enfin sa conclusion.
Une éruption violente mis fin à cet ébat exceptionnel. J’étais pris de pulsions qui tendaient tout les muscles de mon corps: c’était à mon tour d’enfoncer mes griffes dans son dos qui n’en demandait pas moins.
Pour une première fois, elle m’accorda que c’était un succès inégalable. Elle savait aussi, secrètement, qu’elle avait créé un monstre. Elle avait ouvert la cage du lion qui voulait en sortir. Elle avait libérer cette machine sexuelle inutilisée mais si puissante.
Elle savait aussi que c’était loin d’être notre dernière fois. Car une chose était sûre: elle était maintenant devenue dépendante de cette relation. Une fois cette souche installée, elle serait difficile, voire même impossible, à retirer.
Source: reddit.com/r/gonewildstories/comments/g3jtzv/mf_in_french_ma_première_proie_eng_my_first_prey