D-14: le parc [MF][French]

*Two months ago I met a girl online. Problem: I was about to move to another city and wouldn’t be back before early April. We took that as an opportunity to learn to know each other before meeting in real for the first time. What started by innocent conversations became a steamy stream of erotic games. She is on family holiday now with absolutely no chance of sexy time between us anymore. To make her wait until we meet for the first time, I decided to write her a short, erotic story a day until we meet in two weeks. This is the second one.*

Il aura donc fallu que l’on trouve un arbre au tronc un peu plus massif que les autres. Je savais bien que cette robe à fleurs fluide allait lui faire son petit effet dans les allés du parc. Je n’avais cependant pas prévu que ce long baiser devant la fontaine allait autant m’émoustiller. C’est les joues rouges qu’en un sourire je l’ai pris par la main vers la zone plus boisée et moins arpentée.

Il s’est assis à même l’herbe au pied d’un arbre, les jambes étendues sur le sol. Si n’importe qui pouvait arriver sur le sentier, à cet instant précis la voie était dégagé . Regard vers la gauche puis vers la droite ; mes yeux se sont plongés dans les siens et mes mains sous ma robe, accueillies par une tièdeur humide qui m’a moi même surprise. Beaucoup trop lentement pour les circonstances, mon dessous a glissé de mes jambes jusque mes chevilles pour finir dans la poche de son jean au moment où je me suis accroupie sur lui. Ses cuisses entre les miennes, mes lèvres entre les siennes, nous aurions pus passer pour de châstes amoureux un peu trop démonstratifs pour un lieu public. Je lui ai mordu une première fois sa lèvre au déclic de sa ceinture, une seconde fois à l’ouverture de ses bouttons.

Sans jamais baisser mon regard, sans jamais décoller ma bouche de la sienne, à la discrétion des plis de ma robe flottant sur l’herbe mes doigts sont allés fouiller dans ses tissus et le libérer de ses étoffes. Alors tout doucement, pour ne pas éveiller les soupcons des quelques passants, mes bras ont enlacé son cou quand d’un mouvement de bassin je positionnais son membre sec juste à la source de mon humidité. Et lentement, nos langues entrelacées pour mieux étouffer nos gémissements, j’ai laissé mon corps s’affaisser, centimètre par centimètre. À peine le contact de ma robe sur mes seins nus pouvait trahir un mouvement. Seule son épaule a pu étouffer mon cri trahissant mon tremblement ; son dernier souffle, sa jouissance.

Il aura fallu un long moment sur le chemin du retour pour que ce flot liquide et chaud cesse de perler le long de mes cuisses.

Source: reddit.com/r/sexystories/comments/896gt9/d14_le_parc_mffrench